Imaginez écrire un article pertinent chaque semaine… un article réclamé par votre audience…
Imaginez recevoir chaque semaine des messages de ce genre….

Imaginez pouvoir faire cela semaine après semaine… mois après mois…
Quel serait l’impact sur la monétisation de votre blog ? À quel rythme pourriez-vous terminer votre livre ? À quel vitesse votre communauté grandirait ?
Mais voilà… le mythe du génie créatif a la vie dure !
On pense trop souvent que ceux qui innovent, ceux qui créent les meilleurs contenus, sont ceux qui ont du talent, « Ils ont cela dans les gènes ». Ou alors on se dit qu’ils ont plus de volonté que nous.
Alors que les études sur les gens qui réussissent prouvent encore et encore que le succès n’est pas le résultat d’une volonté à toute épreuve ou la capacité à surpasser la résistance, mais plutôt le résultat d’un environnement de travail facilitateur qui contourne la résistance (1).
Oui, réussir à écrire un article pertinent avec régularité est une compétence.
Et ci-dessous, je partage avec vous ce qui m’a aidé…
- A écrire un article par semaine depuis des années ;
- A envoyer un e-mail par jour à mes abonnés durant 6 mois ;
- A rédiger (et faire publier) mon bouquin en 6 mois.
Depuis 2012, j’ai mis au point une méthode pour faciliter mon flux de travail et la création de mon contenu.
Si aujourd’hui vous n’êtes pas encore satisfait de la qualité de vos textes (ou de la régularité avec lesquels vous publiez ceux-ci), c’est sur le point de changer, car vous découvrirez :
- 1. Comment prendre des notes intelligentes pour créer du contenu pertinent avec régularité.
- 2. Comment réduire l’ampleur de l’écriture en utilisant une checklist (je vous montre mon modèle plus loin dans l’article).
- 3. Comment appliquer le travail itératif sur vos textes (et éviter de perdre du temps sur des articles qui n’en valent pas la peine).

1. Pour écrire un article de qualité, prendre des notes est primordial
Personne ne commence de zéro. Sönke Ahrens en parle dans son excellent livre sur la prise de note (How to take smart notes). Il explique que la page blanche est une profonde incompréhension du flux de travail d’un créateur de contenu. Pour vous le prouver… Imaginez deux scénarios :
Le premier scénario : une fois par semaine, vous vous installez devant votre ordinateur avec l’idée d’écrire sur un sujet X. Vous devez chercher des idées et vous commencez de zéro.
Le deuxième scénario : vous vous installez devant votre ordinateur, avec plein de notes de vos lectures du sujet X. Votre job consiste à structurer les idées entre elles, faire des liens pertinents, laisser de côté les notes qui ne sont pas intéressantes.
À votre avis, quel scénario vous permettra de créer du contenu plus rapidement ? Quel contenu sera le plus enrichissant pour vos lecteurs ? Quel contenu vous donnera l’impression d’apprendre bien avant d’avoir cliqué sur le bouton « publier » de votre site web ?
Bingo, le deuxième scénario.
Parce que vous avez déjà des idées avec lesquelles travailler. Parce que vous repassez en revue des notes qui vous parlent. Parce que vous êtes entouré des meilleures idées, écrites par les meilleurs auteurs, sur des sujets qui vous intéressent.
Un bon flux de travail auto-alimente votre motivation. Seul un travail qui est en soi enrichissant peut alimenter la motivation de manière durable et faire avancer le processus de recherche (2).
La première étape importante pour créer du contenu régulier de qualité est de lire du contenu de qualité, qui vous parle, en prenant des notes.
Mais voilà… il ne suffit pas de noter quelques mots dans la marge des livres que vous lisez ou de souligner les passages inspirants d’un livre pour pouvoir brandir votre stylo en criant « je sais prendre des notes, moi ! »
Non.
Cette manière académique (archaïque, devrais-je dire) de prendre des notes est loin d’être efficace. Premièrement elle ne favorise pas l’association des idées en déplaçant ce que vous lisez dans de nouveaux contextes et surtout… il y a de fortes chances que vos notes prennent la poussière et que vous ne les consultiez plus jamais.
Alors comment faire ?
Un bon point de départ consiste à…
- 1. Lire votre bouquin en soulignant les passages importants ;
- 2. Une fois le livre terminé, récupérer les idées de l’auteur en les reformulant avec vos mots ;
- 3. Attribuer un mot-clé à la note de lecture que vous enregistrez dans votre logiciel fétiche (j’utilise pour ce travail Workflowy).
Ainsi, quand vous souhaitez écrire sur un sujet, vous cliquez sur le mot-clé relatif et toutes les notes apparaissent. Cela vous permet de passer en revue celles-ci et de créer de nouvelles associations.

Par la suite, vous pourrez améliorer votre système en réduisant la quantité de mots-clés utilisés, en créant des connexions directes entre les différentes notes que vous prenez ou en utilisant la méthode Zettelkasten (qui consiste à sortir les notes que vous prenez de leur contexte original et en les replaçant dans le contexte de vos notes existantes). Mais souvenez-vous de ce que disait Richard Branson : « Peu importe comment vous prenez vos notes, tant que vous en prenez ».
À ce stade, vous vous dites peut-être « qu’en prenant des notes, vous lirez moins de livres ».
C’est exact et c’est l’effet recherché. Cela vous incitera à mieux sélectionner les livres, les articles et les sites web qui méritent votre attention.
Ceci dit, une fois que vous commencerez à prendre des notes de cette manière, vous aurez des sujets qui contiennent plus de notes que d’autres. Cela signifie souvent un intérêt plus marqué. Vous pouvez donc choisir un article au sein de ce sujet sur lequel écrire.
Une fois le sujet sélectionné, vous pouvez utiliser la checklist minimaliste suivante afin de facilement écrire.
2. Réduire l’ampleur de l’écriture en créant votre checklist minimaliste
Si je vous demande de préparer un coq au vin, préférez-vous cuisiner avec une recette de cuisine ou y aller au « feeling » ?
Si vous souhaitez mettre toutes les chances de votre côté pour créer un bon repas, j’imagine que vous optez pour la recette de cuisine. Savoir quoi faire et dans quel ordre…
- Réduit le risque d’erreur ;
- Augmente les probabilités d’atteindre un résultat souhaité ;
- Réduit les décisions à prendre.
Avec la rédaction de votre article, c’est pareil. Si vous vous retrouvez face à un écran d’ordinateur et un curseur qui clignote, il y a de fortes chances que vous glissiez sur Facebook ou dans vos e-mails. Parce que c’est plus facile que de vous demander « par où je commence maintenant ? »
Si à l’inverse vous avez devant vous une liste d’étapes à suivre, vous réduisez la friction au démarrage.
Vous l’avez deviné, je travaille avec une checklist pour écrire mes articles (comme celui que vous lisez en ce moment) et je vous recommande d’en faire de même.
Une checklist n’est pas une to-do list. Une checklist est une succession d’étapes importantes à réaliser dans un certain ordre.
Votre checklist n’est pas statique, elle s’améliore avec le temps. Quand vous apprenez quelque chose d’intéressant, vous modifiez votre recette afin que la prochaine fois, le résultat soit encore meilleur.
En plus d’améliorer la qualité de vos textes, vous gagnez en régularité, car la checklist fragmente le travail que vous devez faire pour publier un article.
Pourquoi ? Parce qu’il vous suffit de suivre les étapes de votre checklist pour réussir à « pondre » un article. En faisant confiance au processus qui vous guide dans les différentes étapes, vous économiserez des ressources mentales disponibles pour la création de votre texte.
Pour ma part, cela me permet de me concentrer pour créer une introduction, je peux chercher des métaphores et des anecdotes personnelles. Certes, la qualité de mes textes continue de varier en fonction de mon humeur, mon énergie et mes notes, mais bien moins qu’en écrivant sans checklist.
Passons maintenant en revue les différentes étapes de ma checklist “écrire un article”.
Gardez à l’esprit que celle-ci a été « raffinée » avec les années de test. Je vous invite à vous inspirer de mon modèle, ou d’un autre modèle, mais ce que je souhaite surtout vous transmettre dans cet article, c’est l’importance de pratiquer l’écriture en pensant de manière globale à votre flux de travail et en recherchant l’amélioration continue de votre processus créatif.
Pardon ? Ah oui, la checklist. La voici.
1. Définir le sujet
À cette étape, je vais réfléchir au sujet que je souhaite aborder. Lorsque je lançais mon site, je sélectionnais toujours des mots-clés qui étaient recherchés par les internautes. Désormais avec la connaissance de mon marché, j’écris 50% du temps sur ce qui pourrait être la tendance de demain et 50% sur des mots-clés recherchés.
2. Effectuer des recherches
Quand je ne prenais pas de notes, j’effectuais mes recherches via Google ou dans ma pile de livres. Désormais, je me rends dans mes notes et je regarde ce qui semble pertinent par rapport au sujet.
3. Créer le concept
Lors de cette étape, je définis la situation « avant » de mon lecteur et la situation « après » de mon lecteur. Entre les deux, il y a le pont (qui n’est rien d’autre que la valeur apportée par mon article).
Pour cet article, le « avant » était un lecteur qui croit qu’il faut avoir du talent pour créer de bons articles.
Le « après » est un lecteur qui comprend l’importance de voir la création de contenu comme un flux (et qui souhaite en savoir plus sur mon travail).
4. Créer le titre provisoire
Je donne un titre provisoire qui me permet de commencer à écrire.
5. Choisir l’une de ces 3 structures
À cette étape je sélectionne la structure de mon article. J’ai 3 structures types :
1) Problème – Solution
- Vous avez ce problème ;
- Vous avez essayé (en vain) cette solution ;
- Voici la solution qui a fonctionné pour moi ;
- Voici comment mettre en place la solution.
2) Test du produit/d’une application
- Créer le contexte (dans lequel se trouve le problème que le produit résout) ;
- Comment est le produit testé ?
- Qu’ai-je fait avec ?
- Caractéristiques clés (+/-) ;
- À qui est destiné ce produit/cette app ?
- Pourquoi j’aime ou je n’aime pas ce produit ?
3) Note de lecture
- Le livre en une phrase ;
- Citation favorite de l’auteur ;
- Leçon 1 ;
- Leçon 2 ;
- Leçon 3 ;
- Titre du livre + résumé ;
- Qu’allez-vous apprendre d’autre en lisant ce livre ?
- À qui je recommande ce livre ;
6. Structurer et écrire l’article
Je vais ensuite regarder mes notes et les copier/coller dans la structure de l’article. Puis commence l’écriture. Je ne commence pas de zéro. Je vais regarder où mon argumentaire peut être amélioré, je vais réfléchir à la tournure des mots et des phrases. Tout ce processus est fait dans le logiciel Workflowy.
Une fois l’article écrit, je laisse reposer celui-ci quelques jours. En général j’ai des idées qui vont émerger.
7. Relire en vérifiant ces points
Je vais m’assurer de raccourcir les phrases et supprimer les mots inutiles. C’est mon plus gros problème. Quand je n’arrive pas à faire cela, j’écris mon article sur mon smartphone. C’est pénible et cela m’incite à aller droit au but.
- Je vérifie qu’il n’y a pas de contradictions.
- Je vais passer en revue les sous-titres et reformuler ceux-ci pour les rendre plus attrayants.
- Je vais citer les sources (dans l’article ou en fin d’article).
8. Publier l’article
En travaillant ainsi, je n’ai jamais un article à écrire. J’ai des recherches à faire (qui sont enrichissantes vu que je repasse en revue mes notes). J’ai un titre à créer. J’ai un chapitre à rédiger. Puis un autre. Puis un autre.
Certes j’ai toujours mes journées durant lesquelles rien ne va. Les idées ne viennent pas. Mais ces journées sont de plus en plus rares.
Ah ! Et j’allais oublier… tout mon processus créatif se fait sous musique électronique (avec pas ou peu de voix).
Une fois l’article publié, est-ce fini ?
Non. Il me reste une dernière étape…
3. Appliquer le travail itératif sur vos textes
L’avantage du texte par rapport aux vidéos ? Celui-ci s’édite facilement. Pourquoi ne pas en profiter ?
Quand je publie un article, celui-ci contient l’un de mes dessins (j’aime illustrer moi-même mes articles) ou alors j’utilise une image libre de droits. Si l’article est apprécié par les lecteurs et qu’il monte dans les résultats de Google, je vais passer en revue celui-ci en l’améliorant.
Je vais regarder pour déceler des passages peu clairs, je vais retravailler l’intro et je vais prendre du temps pour illustrer complètement l’article.

Ainsi, lors de la première étape, je vais investir 20% du temps pour atteindre le 80% du résultat. Mais ce premier jet contient parfois des fautes d’orthographe, il n’est pas fini dans les détails.
Ce n’est que quand Google (et les visiteurs de mon article) valide la qualité de celui-ci, que je décide (ou non) de revenir dessus et d’en faire une nouvelle version.
Cela s’appelle le travail itératif et cela vous permet d’économiser un max de temps !
C’est pratiqué dans la création de formations (v1, v2, v3), dans la création de produits physiques et cette manière de travailler fonctionne à merveille dans les environnements complexes.
Plutôt qu’investir 20h dans un article qui restera peut-être invisible, je préfère passer 20h à écrire 5 articles et de passer en revue l’article qui obtient les bons retours.
J’entends déjà les perfectionnistes grincer des dents… Mais si vous passez des heures sur vos articles et que cela vous frustre, dites-vous ceci :
- 1. Une critique en dit bien plus sur le critiqueur que sur l’objet de la critique (3), car…
- 2. La qualité se loge dans l’œil de l’observateur. Le même travail sera sublime pour une personne et « nullissime » pour une autre.
- 3. Vous pourrez améliorer bien plus rapidement la qualité de vos écrits et de vos créations en recevant des retours fréquents. Ainsi le débat « qualité » vs « quantité » est une perte de temps. Pour moi la quantité (qui est mesurable) amène à la qualité (qui est subjective), quand le travail est réalisé de manière délibérée.
- 4. Si vous comptez publier votre travail, vous serez critiqué et c’est ok.
Écrire un article : la méthode en résumé
1. Prenez des notes de ce que vous lisez.
« Les notes ne rendent pas les efforts intellectuels contemporains plus faciles. Ils les rendent possibles. » – Neil Levy (4)
Au début, vous ne verrez pas les connexions avec la création de contenu, mais rapidement des associations se formeront. Plus vous prendrez des notes et plus la valeur de vos notes augmentera. Jusqu’à atteindre une masse critique qui vous permettra de rapidement créer du contenu de qualité.
2. Utilisez une checklist (que vous suivrez comme une recette de cuisine) tout au long de votre rédaction. Améliorez celle-ci avec les découvertes que vous faites. Cela permet de réduire la taille d’une tâche vague telle que « écrire un article ».
3. Travaillez de manière itérative. Quand vous voyez que votre article plaît, améliorez celui-ci.
Si vous souhaitez aller plus loin, cliquez ici pour améliorer votre prise de notes.
Julien, du site Organisologie.com
Sources mentionnées dans l’article :
- (1) Painter, James E, Brian Wansink, and Julie B. Hieggelke. 2002. “How Visibility and Convenience Influence Candy Consumption”.
Neal, David T., Wendy Wood, Jennifer S. Labrecque, and Phillippa Lally. 2012. “How Do Habits Guide Behavior? Perceived and Actual Triggers of Habits in Daily Life”.
Hearn, Marsha Davis, Tom Baranowski, Janice Baranowski, Colleen Doyle, Matthew Smith, Lillian S. Lin, and Ken Resnicow. 1998. “Environmental Influences on Dietary Behavior among Children: Availability and Accessibility of Fruits and Vegetables Enable Consumption” - (2) DePasque, Samantha, and Elizabeth Tricomi. 2015. “Effects of Intrinsic Motivation on Feedback Processing During Learning”.
- (3) Fooled by randomness, Taleb, 2001.
- (4) Levy, Neil. 2011. “Neuroethics and the Extended Mind”.
Bonjour Marlène et Julien !
C’est super !
C’est ce qu’il me fallait !
J’ai commencé à prendre des notes depuis plusieurs mois (j’avais écris »mots ». Lapsus…), mais je n’avais pas pensé à faire une checklist.
Par contre, je laisse toujours reposer mon texte car ça me permet d’avoir du recul.
Ça va m’aider car je suis trèèèès longue à écrire des articles.
Je ne suis pas organisée et j’en ai besoin !
Merci en tout cas ! Ça me donne envie de m’abonner à la newsletter ! :)
Hello, c’est déjà bien d’avoir conscience de manquer d’organisation, c’est ce qui permet de mettre en place des solutions pour s’améliorer :)
Bonjour Marlène, je pensais être organisée, voire « maniaque » mais j’ai trouvé mon maître ! Je viens de parcourir le blog de Julien et je suis impressionnée ! Je vais mettre « lecture du site de Julien » dans mon agenda ! J’attaque un nouveau projet web qui me prend énormément d’énergie je pense que la méthode de julien va m’aider. Très bonne journée
Hello Corinne, je trouve qu’en matière d’organisation il faut beaucoup « tester ». Il existe une foule de méthodes, de solutions, d’outils pour mieux s’organiser mais on a – aussi – chacun nos propres défis, nos propres contraintes en matière d’organisation.
Certains vont avoir du mal à prioriser, d’autres avoir du mal à se concentrer, d’autres avoir une tendance à la procrastination pour des raisons très variées (manque de confiance en soi, difficulté à aborder une « grosse tâche »)… Je trouve ces sujets passionnants :)
Merci pour cette pépite ! Je suis plutôt hyper organisée dans la vie, mais pour créer du contenu régulièrement, je suis complètement à la masse… Ces conseils m’aident beaucoup à imaginer un workflow « pratique » et à utiliser intelligemment les notes que je prends au quotidien et qui finissent, comme tu dis, par prendre la poussière… ^^’
C’est top si les méthodes de Julien te rendent service ! As-tu fait le test pour connaître ton « profil d’organisation » sur le site ?
Bonjour Julien et bonjour Marlène,
Je suis tellement contente de lire cet article, un grand merci!!
J’avais suggéré à Julien de nous transmettre son art du copywriting et mon voeu s’est réalisé!! A quand la suite?? Je suis sûre qu’il a encore beaucoup à dire ;)
C’est un sujet inépuisable ! En plus, l’organisation garde une dimension très « personnelle », les méthodes qui marchent ne sont pas les mêmes pour tout le monde… et ne sont pas forcément immuables dans le temps. Par exemple, je suis en train de revoir ma propre routine d’écriture depuis quelques temps car j’ai eu pas mal de changements de rythme professionnel et je me rends compte que ça implique aussi de revoir mon organisation pour écrire !
Coucou,
Merci beaucoup pour tes précieux conseils!
Belle journée
Virginie
Je ne peux que rejoindre l’avis de Julien sur l’importance (extrême) de l’organisation ! On la met, bien sûr, au service de la productivité, de la performance, ces choses que notre société moderne adore ;) Mais en conséquence, être organisé est aussi ce qui permet de dégager plus de temps pour faire ce que l’on aime.